Mathématiques élémentaires et augmentation du CO2 dans l’atmosphère.

Le 26/07/2025 0

Article du 26 juillet 2025

Au départ, je ne suis pas plus climato-sceptique que je ne suis antivax ! J’ai tous mes vaccins et quand je vivais en Afrique j’en avais aussi quelques-uns non obligatoire.

Mon scepticisme ne concerne que ce produit qui a été baptisé vaccin :

  • Sans empêcher de tomber malade ;
  • Sans empêcher la transmission ;
  • À refaire tous les trois mois ;
  • Sans que les effets à moyen et long terme ne soit connus et pour cause, il faut des années pour cela.

Pour le climat, c’est pareil. Je me souviens de conversations, il y a 5 ou 6 ans, avec mon copain Christophe, géographe : « On va dans le mur et on ne fait rien ; on ne pourra pas dire qu’on ne savait pas et on ne fait rien. Moi je suis ok pour qu’on fasse quelque chose s’il faut sauver la planète, mais alors tous, et radicalement. Décroissance ». Celui qui parle, c’est pas Christophe, c’est moi !

Aujourd’hui, je pense vraiment que le discours sur le CO2 est un discours manipulatoire destiné à modeler nos comportements, à nous faire accepter des privations, des changements de mode de vie auxquels on ne consentirait jamais :

  • si on ne prenait pas le soin de nous faire peur chaque jour ;
  • si on ne nous culpabilisait pas comme étant les responsables de la catastrophe en cours.

Cela veut dire que je suis devenu climato-sceptique ? Je préfère dire médiato-sceptique.

Aujourd’hui, je fais un article bref, qui est juste le prolongement de ce que j’ai écrit hier et qui ne m’avait jamais frappé autant. C’est un peu de mathématiques basiques qui me semblent suffisantes pour m’interroger sur l’escroquerie possible du CO2.

Commençons par resituer ces chiffres du CO2 dans l’atmosphère dans l’Histoire géologique.

Une image contenant diagramme, origami, conception

Description générée automatiquement

En haut, la courbe du CO2, en bas de l’O2. Ce que révèle cette courbe, c’est que la variation de concentration de CO2 n’a à peu près rien à voir avec l’activité de l’homme et qu’elle fluctue énormément.

La vie sur Terre s’est développée à des époques où les concentrations de CO₂ atmosphérique étaient parfois dix fois supérieures à celles d’aujourd’hui. Entre 1000 et 3000 ppm, on a des dinosaures, des végétaux partout qui nourrissent la chaine alimentaire, et des niveaux d’océans qui fluctuent de plus de cent mètres selon les cycles de glaciation, très bien décrits depuis longtemps. L’augmentation actuelle — de 280 ppm avant l’ère industrielle à plus de 420 ppm aujourd’hui — part donc de niveaux historiquement bas à l’échelle géologique. On peut même dire qu’il n’y a quasiment eu jamais aussi peu de CO2 dans l’atmosphère.

Co2 plane te

Alors oui, mais ça remonte. Oui, pour l’instant, c’est quasi invisible si on prend du recul comme ici, si on change de focale. Et donc, faisons un peu de mathématiques élémentaires.

1. Quelle augmentation en valeur absolue ?

Depuis 1820, en 200 ans, que s’est-il passé ?

Le nombre de ppm de CO2 dans l’atmosphère est passé de 280 à 420. Impressionnant ? Développons le sigle ppm, qui donne l’unité. Ce sont des particules par million. Sur 1 million de particules d’air, il y avait, en 1820, 280 particules de CO2, et maintenant 420. Cela veut dire 140 particules en plus sur 1 million.

2. Quelle augmentation en pourcentages ?

On fait des pourcentages ? Cela correspond à une augmentation du volume du stock  0,014 % en 200 ans.

Déjà, si on fait une pause, vu la multiplicité des facteurs qui composent le climat (radiations solaires, inclinaison de l’axe de la Terre, influence des masses océaniques qui comptent beaucoup plus que les masses d’air car beaucoup plus importantes, flux d’altitude, courants marins…), il faut une solide dose de foi pour penser qu’une variation totale de 0,014 % du stock d’un seul gaz (les petits carrés blancs tout en haut du schéma), a considérablement modifié à lui tout seul le climat de la planète.

Mais admettons. Je sais, ce n’est pas facile !

3. Quel rythme annuel d’accroissement ?

Alors en admettant un rythme linéaire d’accélération, il nous faut diviser ce chiffre par 200 ans pour avoir un taux d’accroissement annuel du CO2 dans l’atmosphère.

Cela donne 0,00007% par an d’augmentation du CO2 dans l’atmosphère. Autant dire qu’on est dans l’infinitésimal, le quasi homéopathique, non ?

4. Quelle est donc la part de l’augmentation du CO2 due à l’homme ?

Elle est considérée comme étant égale à 5% de la production totale de CO2, le reste étant dû à la respiration du vivant, à la production des océans, au pourrissement.

Pour le GIEC, ce sont 5% qui sont de trop, ils ne sont pas assimilables. La nature ne parviendrait pas à absorber 100 % de cet apport supplémentaire. Elle en absorbe environ la moitié (dans les océans et la biosphère), mais l’autre moitié reste dans l’atmosphère, année après année. C’est cette fraction non absorbée, pourtant minoritaire en volume global, qui s'accumule et fait monter le niveau de CO₂ atmosphérique.

Admettons et soyons OK avec le GIEC, faute d’être spécialiste du cycle du carbone.

Cela donne quoi ? La moitié des 5% produits par l’homme cause l’augmentation du CO2. C'est ce que dit le GIEC.

Sur les 140 particules en plus en 200 ans, l’homme n’est donc responsable que de la moitié de cette augmentation : en tout, il n’est responsable que de la production de 70 particules supplémentaires de CO2 (par million de particules d’air) sur une durée totale 200 ans.

L’espèce humaine dans son ensemble  est responsable de la production de 0,31 particule de C02 de plus par an (par million de particules).

Et c’est sur cette part qu’il est urgent d’agir pour sauver la planète ! Je renonce à diviser cette 0,31 particule de CO2 par 8 milliards pour chercher ma responsabilité : je saute direct à la conclusion.

Conclusion : Que faire ?

« Il faut réduire notre empreinte carbone ! »

C’est le discours, c’est le leitmotiv, c’est la culpabilisation.

Il faut donc ralentir et même stopper net cette augmentation qui n’est que 0,00007% par an, alors que l’homme n’est responsable que de la moitié ? Agir sur 0,000035% d’augmentation annuelle ?

On est 4 milliards depuis 1974, 7 milliards depuis 2011, 8 milliards depuis 2022).

Imaginons la part de chacun de nous dans cette 0,31 particule de CO2 produite en plus par an par les humains.

Je me refuse à faire la division… Pourtant, elle serait éclairante !

Que vous alliez en voiture ou à vélo au boulot, cela change quoi ?

Que vous preniez des télésièges l’hiver ou que vous arrêtiez le ski ?

Que vous preniez le train ou l’avion ?

Que vous soyez végétalien ou omnivore ?

Vous allez agir sur une part infinitésimale de 0,000035% d’augmentation annuelle, qui correspond à 0,31 particule de CO2 par million. Ok… Il faut avoir la foi pour y croire ou être solidement marqué du discours de la Peur et bien culpabilisé.

À titre personnel, je refuse cette culpabilisation constante.

Mon article précédent montrait déjà que d’autres causes sont possibles à l’augmentation de la température (baisse de la pollution atmosphérique par le So2, dioyde de soufre - étude faite par un des rédacteurs principaux du GIEC, juillet 2025) sans évoquer même des causes naturelles qui font que les périodes de froid et de chaud ont toujours existé dans l’histoire de la Terre.

Cet article le prolonge en montrant par les mathématiques que croire en la responsabilité du CO2 dans l’augmentation des températures relève de l’acte de foi… et est le fruit d’une propagande de tous les instants depuis 20 ans.

Et j’essaie de résister par mes petits moyens (ce blog, un livre à venir peut-être) à l’instauration d’un mode de gouvernementalité par la Peur qui vise à me faire culpabiliser pour m’imposer des changements radicaux de vie, pour entrer dans ma vie privée sous prétexte de « sauver la Planète », nouvel avatar du Bien commun !

Tout ceci vous paraît bien incroyable ? Vraiment climato-sceptique ? Relisez et cherchez où se situeraient les erreurs de raisonnement, les biais, recoupez les infos, demandez à toutes les IA que vous connaissez. Et commentez les faits que j’avance, je répondrai !

Ajouter un commentaire

Anti-spam