J’ai envie d’écrire aussi sur ce qui se passe au Moyen-Orient, et sur la manière dont les médias en France traitent uniformément cette question depuis le point de vue israélien est américain. Il faudra que je le fasse aussi, mais ce n’est pas simple : il y a cependant de la matière tant certains articles sont caricaturaux du point de vue de leur écriture. Je ne peux évidemment pas jouer le rôle d’un envoyé spécial et dire où est le vrai est où est le faux, mais les modes d’écriture des articles sont déjà tellement révélateurs. Et en tant qu’analyste de discours je m’en tiendrai là, bien entendu.
Mais l’actualité scientifique et son traitement par les médias, à nouveau, me donne l’occasion de revenir sur le thème qui a créé l’ouverture de ce blog, à savoir le Covid et tout ce qui s’est créé autour de ce thème en termes de manipulation de l’information et de contrôle des populations. L’actualité, c’est la relance de la compagne vaccinale pour le covid, avec les mêmes discours creux, à cela près que plus grand monde ne pense réellement que ce virus, sous sa forme actuelle, nécessiterait un vaccin.
Mais il y a quand même beaucoup à dire sur ce vaccin et même si j’ai écrit des pages et des pages, il en reste encore et ce ne sont pas choses sans importance à la veille où des personnes vont tendre le bras pour la cinquième, sixième fois ?
De quoi vais-je donc parler aujourd’hui ? Je ne vais pas vous parler de zizi en évoquant de possibles baisses de fertilité dans les pays fortement vaccinés, il y a des indices de cela, notamment en Suisse où c’est très documenté et assez impressionnant, mais ce serait un autre sujet. Non, il sera question de Zizi. « Zizi. Mon nom est Zizi, Martin Zizi » : un biologiste belge beaucoup plus sérieux que ce que son nom l’indique. Le Pr Martin Zizi est Professeur de physiologie et Biophysicien et ancien directeur épidémiologiste du Département de la Défense Belge.
Cela fait quelques mois que j’ai fait sa connaissance sur Internet à travers des conférences analysant les problèmes de la plate-forme destinée à produire des vaccins à ARN messager. Je vous propose un lien si vous avez une heure de voiture, car cela vaut vraiment la peine je vous assure : un de ses blogs vidéo dans lequel il explique en détail cinq points très problématiques (le 15 janvier 2024).
https://www.youtube.com/watch?v=KF-3DHJQS-s
Si vous n’avez pas ce temps devant vous, ou pas envie, je résume ici les quatre premiers dans un langage simple et clair j’espère, et si vous voulez en savoir vraiment plus et comprendre les fonctionnements biologiques qui sont derrière, je vous invite à l’écouter directement. Il dit en effet bien d’autres choses, notamment sur les nombreuses anomalies juridiques qui ont permis la diffusion à grande échelle.
1. Les cinq problèmes que pose la vaccination par ARN messager contre le Covid
Problème numéro un : le dosage de la production de protéine Spike
Vous prenez n’importe quel médicament : il est absolument fondamental que vous sachiez quelle dose vous prenez, et ce n’est pas la même chose de prendre 250 mg, 500 mg ou 1 g. Même avec des médicaments comme l’aspirine ou le paracétamol, il ne faut pas jouer avec les doses. C’est le problème numéro un qui se pose : les recherches qui ont été faites par les laboratoires ayant produit le vaccin ne permettent pas du tout de savoir quelle quantité de protéines Spike este produit par votre corps quand il reçoit les vaccins. En d’autres termes personne ne sait exactement quel type de réponse votre corps va avoir.
Empiriquement, on a découvert que certains ne personne ne produisaient pas de protéine Spike du tout, d’autres en produisaient beaucoup plus. Cela dépend de très nombreux paramètres très difficiles à modéliser et donc à maîtriser. Et en fonction de la quantité produite, votre corps va produire des anticorps (c’est le principe du vaccin : lutter contre la protéine indésirable). La réponse immunitaire n’est évidemment pas la même selon que vous en produisez très très peu, beaucoup ou pas du tout. Cela fait quand même un premier problème relativement important, pas du tout maîtrisé par les fabricants de vaccins. On peut toujours dire que ce n’est pas grave de ne pas savoir. Soit.
Problème numéro deux : la distribution de la protéine Spike dans votre corps (la bio-distribution).
Au départ, dans les discours commerciaux qui ont escorté les nouveaux vaccins, il était dit que la protéine restait strictement produite au niveau de votre muscle, dans le bras : là où elle avait été injectée. Les chercheurs se sont rapidement aperçu que la protéine était distribuée un peu partout dans le corps, via la circulation sanguine, et on la retrouvait dans les organes reproducteurs, dans les reins, dans le cœur (provoquant des myocardite par exemple, bien loin du bras) et, bien entendu, les effets de la protéine Spike sur ces organes nobles sont potentiellement des effets indésirables. C’est là aussi un sérieux problème.
Problème numéro trois : pendant combien de temps la protéine Spike est-elle produite dans votre corps ?
Pendant combien de temps celui-ci a-t-il une réponse immunitaire ? Pendant combien de temps produit-t-il des anticorps donc ? Ceci est un problème de pharmacocinétique qui n’est pas non plus étudié, pas mentionné dans les dossiers de présentation des vaccins.
Les études qui ont accompagné la production des vaccins anti Covid étaient et sont toujours incapables de dire si votre corps en produit pendant cinq minutes, pendant une heure, pendant un jour, trois jours, une semaine, trois semaines, un mois ou plus. Ceci est à mettre en relation avec le premier point précédent, la dose de protéines Spike produite. Or, produire de la protéine Spike n’est pas anodin : il s’agit d’une protéine qui n’est pas du à sa place dans votre corps, qui n’est pas la bienvenue et qui a de nombreux effets négatifs, qui sont ceux que produit le Covid précisément quand vous l’attrapez et qu’il vient sur votre système respiratoire.
Le problème numéro quatre est encore plus intéressant : la production de protéines aberrantes.
C’est la question qui va nous occuper, principalement. En effet, il se trouve que la protéine produite peut ne pas être la protéine Spike mais une toute autre protéine, par le biais d’un mécanisme de production aberrant de votre corps. Comment cela peut-il fonctionner ?
Explications.
Pour produire un vaccin à ARNm, les fabricants utilisent de la pseudo-uridine. Qu’est-ce que c’est que ce truc ?
La pseudo-uridine (Ψ) joue un rôle clé dans la stabilisation et l'efficacité des vaccins à ARN messager (ARNm). La pseudo-uridine est un nucléoside modifié, où l'uridine (un composant normal de l'ARN) subit un changement chimique. Dans l'ARN normal, les quatre bases principales sont l'adénosine (A), la cytidine (C), la guanosine (G), et l'uridine (U).
La pseudo-uridine remplace parfois l'uridine pour améliorer la stabilité et la fonctionnalité de l'ARN messager contenu dans les vaccins de Pfizer-BioNTech et Moderna afin de :
- augmenter la stabilité de l'ARNm : cela empêche l'ARNm de se dégrader trop rapidement dans l'organisme, ce qui permet une production plus efficace de la protéine Spike. La production dure plus longtemps. Combien de temps ? On ne le sait pas exactement, cf problème 2.
- réduire l'immunogénicité excessive : l'ARNm exogène (étranger) peut parfois déclencher une réponse immunitaire forte, car il est perçu comme une menace par le système immunitaire. La pseudo-uridine aide à atténuer cette réaction, rendant l'ARNm du vaccin plus tolérable par le corps, cf. problème 3.
- améliorer la traduction : la modification de l'uridine en pseudo-uridine augmente l'efficacité avec laquelle l'ARNm est traduit en protéines, permettant une meilleure production de la protéine cible (la protéine Spike), cf. point 1 : le but est que votre corps produise cette protéine qu’il va ensuite s’entraîner à détruire.
Où est le problème ? Pour Martin Zizi, il se produit des erreurs ponctuelles dans la traduction de l’ARNm en protéines Spike. Des erreurs ? Oui, votre corps produit en fait parfois de toutes autres protéines.
Explication
Au départ de la technologie ARNm, on faisait l’hypothèse que la légère modification de l'uridine en pseudo-uridine ne causait aucun problème dans les cellules.
Or, dans le parcours de traduction de la protéine, il peut y avoir une pause momentanée qui provoque un ralentissement du processus et une lettre du code peut être sautée, un peu comme un vélo qui glisse d'une vitesse.
Ce processus, appelé décalage de cadre, bouleverse la manière dont le code est interprété car il repose sur des groupes de trois bases, appelée codons, lus dans le bon ordre.
Ce problème, causé par le code du vaccin, désynchronise complètement le processus et l'ensemble du code suivant devient brouillé. Le problème du décalage de cadre crée ce qui était, jusqu'à présent, un effet hors cible inconnu.
Dans le cas des vaccins contre le Covid, le résultat final est une protéine dite absurde que le corps attaque, ce qui entraîne une poussée immunitaire évidemment inutile et potentiellement néfaste.
2. Le traitement médiatique de ces problèmes de technologie ARNm.
Il a été décrété par Le Pouvoir que ces vaccins étaient sûrs, que jamais on n'avait eu autant de recul sur un vaccin, et que la technologie était déjà ancienne, éprouvée.
Inutile de dire, dans ces conditions, que la presse scientifique française n’a jamais évoqué ces questions importantes, connues de plusieurs biologistes comme M. Zizi.
Rien non plus dans la presse généraliste. Vous pouvez faire comme moi, chercher sur Google Actualités. Rien dans la presse française.
Un magazine réputé complotiste rapporte cette production de protéines absurde : Breizh Info, article du 13 décembre 2023. https://www.breizh-info.com/2023/12/13/227847/vaccins-arnm-25-30/
Si Breizh Info parle des protéines aberrantes en décembre 2023, c’est à la suite de la publication d’un article dans Nature, par une équipe de chercheurs de l'unité de toxicologie du Medical Research Council (MRC) de l'université de Cambridge. C’est cette équipe qui a découvert que, lorsque ce code partiellement synthétique est lu, la machine de fabrication de protéines dans le corps a parfois du mal avec les analogues de l'uridine. Article qu'il a été le seul à relayer.
https://www.nature.com/articles/s41586-023-06800-3
Extrait du résumé :
Des ribonucléotides modifiés sont généralement incorporés dans les ARNm IVT thérapeutiques pour diminuer leur immunogénicité innée mais leurs effets sur la fidélité de la traduction de l'ARNm n'ont pas été entièrement explorés. Nous démontrons ici que l'incorporation de N1-méthylpseudouridine dans l'ARNm entraîne un décalage du cadre ribosomique de +1 in vitro et que l'immunité cellulaire chez la souris et l'homme contre les produits décalés de +1 issus de la traduction de l'ARNm du vaccin BNT162b2 se produit après la vaccination. Le décalage du cadre ribosomique de +1 observé est probablement une conséquence du blocage du ribosome induit par la N1-méthylpseudouridine pendant la traduction de l'ARNm IVT, le décalage du cadre de lecture se produisant au niveau des séquences glissantes du ribosome.
Un journal grand public s’est fait l’écho de cet article, en décembre 2023. Mais pas en France : The Telegraph, journal anglais. Normal, les chercheurs sont de Cambridge. Un journal de référence, plusieurs fois nommé journal de l’année en Angleterre.
https://www.telegraph.co.uk/news/2023/12/06/mrna-jabs-modena-pfizer-quarter-unintended-response/?ICID=continue_without_subscribing_reg_first
L’article résume l’essentiel des découvertes, avec la conséquence de la production de « nonsense proteins being made instead of the desired Covid “spike” » , production de « protéines aberrantes au lieu de la désirée protéine Spike ».
One in four who had Pfizer Covid jabs experienced unintended immune response
Joe Pinkstone Science Correspondent
06 December 2023 5:17pm GMT
More than a quarter of people injected with mRNA Covid jabs suffered an unintended immune response created by a glitch in the way the vaccine was read by the body, a study has found.
No adverse effects were created by the error, data show, but Cambridge scientists found such vaccines were not perfect and sometimes led to nonsense proteins being made instead of the desired Covid “spike”, which mimics infection and leads to antibody production.
Traduction : Plus d’un quart des personnes ayant reçu des vaccins à ARNm contre le Covid ont souffert d’une réponse immunitaire involontaire créée par un problème dans la façon dont le vaccin était lu par l’organisme, selon une étude. Les données ne montrent aucun effet indésirable dû à cette erreur, mais les scientifiques de Cambridge ont découvert que ces vaccins n’étaient pas parfaits et conduisaient parfois à la production de protéines absurdes au lieu du « pic » Covid souhaité, qui imite l’infection et conduit à la production d’anticorps.
This issue, caused by the jab’s code, throws the process completely out of sync and the entire subsequent code becomes garbled.
In the case of the Covid jabs, the end result is a nonsensical and harmless protein, the team found, which the body attacks and leads to an immune system flare-up. The new study, published in Nature, found this occurred in around 25-30 per cent of people.
Traduction : Ce problème, causé par le code du vaccin, désynchronise complètement le processus et l’ensemble du code qui en résulte est brouillé. Dans le cas des vaccins contre le Covid, le résultat final est une protéine absurde et inoffensive, a découvert l’équipe, que le corps attaque et qui entraîne une poussée du système immunitaire. La nouvelle étude, publiée dans Nature, a révélé que ce phénomène se produisait chez environ 25 à 30 % des personnes.
L’article révèle l’ampleur du phénomène qui touche entre 25 et 30 % des vaccinés.
Les auteurs de l’article se veulent malgré tout rassurants. Il ont interviewé les auteurs (traduction personnelle) :
Le Dr James Thaventhiran, auteur principal du rapport, a déclaré : « Les recherches ont montré sans l’ombre d’un doute que la vaccination à ARNm contre la COVID-19 est sûre. Des milliards de doses des vaccins à ARNm de Moderna et de Pfizer ont été administrées en toute sécurité, sauvant des vies dans le monde entier. »
On voit mal comment, dans ce cadre, la vaccination pourrait être sûre. Des milliards de doses ont bien été administrées, mais dans tous les pays, les effets indésirables déclarés du vaccin Covid ont dépassé en deux ans la somme de tous les effets indésirables de tous les autres vaccins pendant 50 ans.
Et pour l’avenir ?
Les auteurs ont également découvert qu’il existe un moyen simple d’éradiquer les événements de décalage du cadre de lecture, qui consiste à modifier le code du médicament à ARNm pour minimiser l’utilisation de la pseudo-uridine problématique.
Ces résultats ont été partagés avec l’organisme de réglementation des médicaments MHRA il y a environ un an, disent les scientifiques, et des vaccins mis à jour qui utilisent la forme améliorée de l’ARNm sont en cours d’élaboration pour les vaccins contre le cancer et d’autres thérapies.
Chouette : on nous promet que pour l’avenir, de futurs vaccins contre le cancer et autres auront résolu ce problème de protéines aberrantes, mais en attendant les vaccins Covid continuent bien à poser ce genre de problème.
Littéralement, entre 25 et 30 % des gens qui se sont fait vacciner et qui vont encore se faire vacciner ne produiront pas d’anticorps contre le Covid mais une autre protéine, dont on ne sait ce que le corps en fera. Ils se vaccineront donc en pure perte, à leurs risques (non déterminés) et périls. Il faut un bel acte de foi pour continuer à faire ce geste quand le Covid ressemble à un rhume.
3. Les fabricants de vaccin Covid : de sérieux problèmes éthiques
Rappelons-nous les déclarations triomphales concernant la vaccination des enfants et des adolescents. Comme cet article du Point en mai 2021.
https://www.lepoint.fr/sante/covid-19-le-vaccin-moderna-tres-efficace-chez-les-adolescents-25-05-2021-2428039_40.php#11
Covid-19 : le vaccin Moderna très efficace chez les adolescents
Selon le laboratoire de biotechnologie, rapportant les résultats d’essais cliniques, son sérum s’avère « hautement efficace » chez les sujets de 12 à 17 ans.
En France, le Monsieur Vaccination du gouvernement, Alain Fischer, a laissé entendre, le 21 mai dernier, que les vaccins pourraient être administrés aux 16-18 ans à compter du mois de juin. Et voilà que les récentes annonces du laboratoire de biotechnologie Moderna pourraient conforter l'ouverture de la vaccination aux adolescents. Selon les résultats complets d'essais cliniques, la société américaine a fait savoir, mardi 25 mai, que son vaccin contre le Covid-19 s'avérait « hautement efficace » chez les sujets âgés de 12 à 17 ans.
L'étude de Moderna a porté sur plus de 3 700 participants âgés de 12 à 17 ans aux États-Unis, dont deux tiers ont reçu le vaccin, et un tiers un placebo. « Après deux doses, aucun cas de Covid-19 n'a été observé dans le groupe vacciné […] contre 4 cas dans le groupe placebo, résultant en une efficacité du vaccin de 100 % 14 jours après la seconde dose », a déclaré Moderna dans son communiqué.
Moderna était rassurant ! Pas de problème…
Après une dose, une efficacité de 93 % a été observée, précise l'entreprise. Le vaccin était « généralement bien toléré » et « aucune inquiétude concernant sa sécurité n'a été identifiée jusqu'ici », précise-t-elle. Les effets secondaires observés étaient les mêmes que chez les adultes (douleur à l'endroit de l'injection, fatigue, frissons…).
On se souvient des cas de myocardite chez les jeunes. Le site de suivi épidémiologique du gouvernement français a dû le reconnaître.
https://www.epi-phare.fr/rapports-detudes-et-publications/myocardite-pericardite-vaccination-covid19/
Depuis juillet 2021, les myocardites et les péricardites sont considérées comme des effets indésirables pouvant survenir suite à une vaccination contre le COVID-19 par un vaccin à ARN messager (Pfizer-BioNTech ou Moderna), notamment chez les hommes jeunes. Des données récentes suggèrent que le risque de myocardite et péricardite pourrait être plus élevé après le vaccin Moderna, particulièrement après la seconde dose, qu’après vaccination par le vaccin Pfizer-BioNTech.
Que nous apprend l’actualité récente ? The Telegraph toujours, du 2 octobre 2024
https://www.telegraph.co.uk/news/2024/10/02/moderna-offered-children-cash-test-covid-vaccine/
mais il faut être abonné pour lire. Alors voici la même nouvelle sur MSN.com
https://www.msn.com/en-gb/health/other/moderna-under-fire-after-offering-children-money-to-test-covid-vaccine/ar-AA1rBBpz
Les autorités de régulation ont fustigé Moderna après que l'entreprise pharmaceutique a été accusée d'offrir de l'argent à des enfants pour tester le vaccin contre le Covid. L'entreprise a été condamnée à payer 14 000 £ après qu'il a été révélé qu'un représentant avait offert 1 500 £ à des enfants via WhatsApp pour participer à des essais de rappel.
Cette décision intervient après qu'un comité d'éthique de la recherche a déjà exprimé des inquiétudes concernant la « somme d'argent importante » que Moderna offrait aux participants. Modern a effectivement réduit le montant à 185 £, mais au moins un centre d'essai a continué à offrir la somme initiale, plus élevée. En vertu du règlement sur les médicaments à usage humain (essais cliniques), il est strictement interdit d'offrir des incitations ou des récompenses financières aux enfants ou à leurs parents.
Les participants adolescents à l’étude de Moderna ont été payés, contre la loi. Ne cherchez pas cette nouvelle dans la presse française. Elle n’existe pas.
4. Une nouvelle campagne de vaccination Covid
Ce que l’on y trouve en revanche c’est la promotion de la campagne de vaccination qui revient, avec les mêmes lieux communs. Le thème et dans la presse : le virus circule à nouveau. Santé publique France dans son bulletin du 25 septembre n'arrive même pas à donner de chiffres d'incidence.
https://www.santepubliquefrance.fr/maladies-et-traumatismes/maladies-et-infections-respiratoires/covid-19/documents/bulletin-national/covid-19-en-france.-point-au-25-septembre-2024
En semaine 38, l’ensemble des indicateurs tous âges confondus était en augmentation en ville et à l’hôpital ; cette hausse étant portée par les adultes et plus particulièrement ceux de
65 ans et plus.
• Au niveau des eaux usées, la hausse de la détection du SARS-CoV-2 se poursuivait pour la quatrième semaine consécutive.
• Une intensification de la circulation du SARS-CoV-2 semble s’amorcer, dont l’évolution sera à suivre avec vigilance au cours des prochaines semaines.
Cela semble s'amorcer, s'intensifie, augmenter. A partir de quel chiffre ? Peu importe. Le fait d'utiliser ces formules réactive le traumatisme de 2020, toujours bien présent dans une grande partie de la population. Peu importe que la version du virus qui circule désormais soit très édulcorée et/ou que nos corps s'y soient habitués, ces mots jouent leur rôle dans le discours de la peur, qui est un instrument de gouvernementalité : "le virus circule"...
https://www.ladepeche.fr/2024/10/04/covid-19-public-concerne-nombre-de-doses-trois-choses-a-savoir-sur-la-nouvelle-campagne-de-vaccination-12239424.php
Pour pousser à la vaccination, la presse française reprend ces éléments factuels bien pauvres, fait écho à ces discours de la Peur, Elle avance les les mêmes discours vides, donc ton sait qu'ils n'ont qu'un rôle de mantra creux : "La vaccination empêche les formes graves", "la vaccination freine la transmission". Voici un extrait de cet article, qui cite les conseils de L'Assurance maladie, sur le protocole de vaccination qui va être appliqué :
Une seule dose de vaccin suffit chez les adultes, les adolescents et les enfants de moins de 5 ans vaccinés antérieurement ou ayant déjà été infectés par le virus. "Pour les enfants de moins de 5 ans qui n’ont jamais été vaccinés, un schéma à trois doses de vaccin (2 à 21 jours d’écart et la troisième, huit semaines après) est maintenu", précise le site de l’Assurance maladie.
On parle encore après tout cela de vacciner les enfants de moins de 5 ans, (trois doses !), et les adolescents, encore… J’en reste sans voix.