Le Covid est en recul constant depuis plus d’un mois. On pourrait penser que la vie « normale » a repris ses droits, retour au Monde d’avant, comme disait le Président en début d’épisode. En apparence seulement mais il n’en est rien. Cet article, je l’écris en reprenant quelques indices de la nouvelle normalité qui s’est mise en place à la faveur de cette crise qui est au moins autant une crise de la démocratie qu’une crise sanitaire.
1. Fin de l’épidémie
Cela fait plus d’un mois maintenant que, techniquement, l’épidémie Covid est terminée.
Depuis le 20 janvier dernier exactement, date à laquelle le taux d’incidence (nombre de cas positifs par semaine et pour 100 000 habitants) est repassé sous le seuil défini par le Ministère de la Santé, seuil à 50 cas… Oui 50 positifs pour une semaine et pour 100 000 cela nous mettait en épidémie. Pour la grippe, c’est 180 : 3,5 fois plus élevé le seul de la grippe : mais peu importe, ne revenons pas sur cet arbitraire initial qui a permis de crier au loup très vite et très longtemps.
Un mois que nous sommes sortis de l’épidémie, mais cela n’a pas été officiellement déclaré. Médias et ministère ont mêlé épidémie de grippe, bronchiolite et Covid pour continuer à sonner l’alarme, à entonner le discours de la peur le plus longtemps possible. La Chine qui a changé de politique et qui a été qualifiée de « réservoir à variants » n’a pas permis d’alimenter plus que quelques jours le discours de la peur, le temps que les médias parlent sans preuve mais comme perroquets de crematoriums submergés, et c’était fini. La seule vraie crise qui reste, c’est celle de notre système de santé : mais elle a débuté bien avant le Covid, et celui-ci n’y est pour rien. L’hôpital en déliquescence a juste servi à nous faire accepter plus facilement la logique de soumission : il a d’abord fallu se confiner et tendre nos bras à des produits expérimentaux pour sauver les vieux et les fragiles, puis il a carrément fallu le faire pour sauver l’hôpital lui-même !
Retour à la normale donc ? Les épidémiologistes des médias disent de ne pas s’emballer, une nouvelle vague est toujours possible, de nouveaux variants dangereux (le Variant de Komodo peut-être ) pourraient voir le jour. Oui, certes, tout est toujours possible… Et cela en attendant la nouvelle pandémie qu’ils nous promettent déjà partout : « La prochaine pandémie pourrait être imminente », alerte la Croix-Rouge qui n'oublie pas que la pandémie, c'est pain bénit pour elle, du business (Le Point, 30 janvier 2023 : https://www.lepoint.fr/monde/la-prochaine-pandemie-pourrait-etre-imminente-alerte-la-croix-rouge-30-01-2023-2506725_24.php#11).
C’est à ce genre de détails que l’on voit que rien n’est vraiment fini. Ils ne nous ont pas lâché la bride sur le cou, et sont prêts à reprendre les rênes.
Quelques signes que je vous livre et qui sont révélateurs du Monde d’après, dans lequel nous sommes, de l’état de notre pays.
2. Nos libertés et nos droits ont reculé, l'arbitraire a progressé, l'Etat de droit s'est effacé
Un mois après la fin non déclarée donc de l’épidémie, les soignants, pompiers, gendarmes non vaccinés ne sont pas réintégrés. Au nom de quoi ? Il faut protéger les malades ? Plus personne n’ose dire cela, mais on continue à les écarter. Ces gens sont condamnés sans motif autre que n’avoir pas obéi au pouvoir, d’avoir fait valoir un principe de précaution. Condamnés sans jugement, et à durée indéterminée. C’est la définition même du pouvoir arbitraire qui s’exerce. Cela les concerne eux, aujourd’hui, mais qui peut penser être désormais à l’abri ? Il se trouvera toujours un motif pour juger un comportement socialement indésirable et exclure ceux qui ne se soumettront pas. Et que l’on arrête de nous dire que cela ne résoudrait pas les problèmes de l’hôpital, le problème n’est pas là. Il s’agit de leur rendre justice, de restaurer le fonctionnement normal de la démocratie, de cesser de prononcer des condamnations sans procès, d'arrêter de bafouer les droits fondamentaux de ces personnes, d'arrêter de tirer un trait sur leurs vies.
Qui sait que les fonctionnaires, de par leur statut, ne peuvent être suspendus sans salaire ? Et doivent être réintégrés au bout de 4 mois en l'absence de jugement pénal ? Lisez ce texte https://www.cdg60.com/wp-content/uploads/2021/05/Un-fonctionnaire-peut-il-etre-suspendu-et-conserve-t-il-sa-remuneration-1.pdf
Un fonctionnaire peut-il être suspendu et conserve-t-il sa rémunération ?
Au vu des fautes graves commises par l’agent, l’autorité territoriale peut décider, en application de l’article 30 de la loi n° 83-634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations des fonctionnaires, de suspendre à titre conservatoire et provisoire un fonctionnaire de ses fonctions.
Cette mesure de suspension s’applique également au fonctionnaire stagiaire.
Cette suspension permet d'écarter l'agent du service dans l'attente d'un jugement pénal ou du prononcé d'une sanction à son encontre.
La suspension constitue une mesure administrative n’ayant pas de caractère disciplinaire. Ainsi, elle n’a pas à être motivée ou à être précédée de la communication du dossier à l’agent concerné.
Si l’agent suspendu à la qualité de fonctionnaire, l’autorité territoriale doit saisir sans délai le conseil de discipline qui dispose d’un mois pour rendre son avis.
La situation de l’agent doit être définitivement réglée dans un délai de 4 mois, sauf s’il fait l’objet de poursuites pénales. Dans le cas contraire, l’intéressé doit être réintégré dans ses fonctions, y compris lorsque la procédure disciplinaire n’est pas parvenue à son terme.
Le fonctionnaire suspendu conserve l’intégralité de son traitement, l’indemnité de résidence, le supplément familial de traitement et les prestations familiales obligatoires.
Les mêmes infos en plus détaillé sur https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F13970 : il est piquant de voir que le site s'appelle "Vos droits" car en réalité l'État ne les respecte plus.
L'Etat français n'obéitdonc pas ses propres textes et les syndicats sont complices depuis le début ; enfin, la justice ne s'applique pas quand les agents discriminés la saisissent. Vous vous dites que ce n'est pas possible, en France, parce que la France est un État de droit ? Lisez plutôt ce compte rendu des avis du Conseil d'État, rendu le 29 décembre dernier, en catimini :
Voici un extrait de la fin de ce compte-rendu qui évoquait le fait que les mesures prises n'étaient pas jugées disproportionnées, etc, mais qui montrait un Conseil d'Etat totalement muet sur les rémunérations :
Quid des suspensions sans rémunération ?
Mais la plus grande absente reste la question de la suspension sans rémunération des personnels non vaccinés. Comme plusieurs requérants l’ont souligné, « l’obligation [vaccinale] expose les personnels à des pressions illicites ; la suspension de la rémunération des personnels non vaccinés les mettra dans l’impossibilité de subvenir aux besoins de leurs familles alors que c’est une obligation en vertu de l’article 371-2 du code civil ».
Réponse du Conseil d’État ? Aucune. Nulle part dans sa décision ce point n’est abordé, alors que c’est la première fois en France qu’est prise une mesure aussi attentatoire au droit à subvenir à ses besoins les plus fondamentaux. Du jour au lendemain, des dizaines de milliers de travailleurs ont été mis hors circuit, sans rémunération et sans autre possibilité de ressources, et ce, pour une durée indéfinie. Et rien ! Silence radio. Le sujet est éludé comme s’il n’existait pas. On en reste abasourdi.
Le Conseil d'Etat, chargé de dire le droit en dernière instance, a choisi le mutisme. Comment a fait l'État pour ne pas se placer au-dessus de ses propres lois ? Il a tout simoplement demandé au Parlement, vassal, de voter une loi d'exception, la loi du 5 août 2021, n°2021-1040 relative à la gestion de la crise sanitaire, qui prolongeait le régime d'exception et introduisait la suspension sans salaire. Le 20 février nous sommes toujours sous cette loi d'exception de "gestion de crise sanitaire", alors que l'épidémie Covid est terminée. L'exception est devenue la règle. Le régime d'exception est létal pour la démocratie. Démocratie bien malade ! Est-on toujours dans un État de droit ? Littéralement, non : la loi du 30 juillet 2022 a mis fin à ce régime d'exception à compter du 1er août 2022. Qu'est-ce aui permet donc la poursuite de cette discrimination à l'égard des fonctionnaires suspendus ? Rien d'autre que l'arbitraire du Pouvoir et le mutisme du Conseil d'Etat. Nous ne sommes plus dans un Etat de droit. C'est peut.être un détail pour vous mais pour Macron, ça veut dire beaucoup !
Le Dr Umlil est un autre symbole de cet arbitraire. Ce pharmacien a créé à partir de 2002 un centre de pharmacovigilance à l’hôpital de Cholet, il en a fait un centre de référence sur la surveillance de plusieurs pathologies et de leur traitement, ce centre a été reconnu à plusieurs reprises par les différentes agences de santé qui se sont succédé. Il a fait son travail à propos du vaccin Covid comme il a pu le faire à propos des autres thérapies qui étaient évaluées mais il a tenu un discours critique et il s’en est fait l’écho dans les médias, ce qui lui a valu d’être invité par la commission parlementaire dirigée par Cédric Villani, chargée au printemps 2022 d’enquêter sur les éventuels effets indésirables.
Un mois après la fin de des travaux de cette commission, le Centre de gestion qui régit les praticiens hospitaliers entamait à son encontre une procédure disciplinaire qui a débouché début janvier 2023 sur le fait qu’il a été rayé des cadres des praticiens hospitaliers. Il lui a été reproché de ne pas s'être tenu au devoir de réserve auquel sont astreints les fonctionnaires : le problème est que ni les médecins ni les pharmaciens ne sont astreints à ce devoir de réserve et qu’ils ont au contraire un devoir d’alerte qui est inscrit dans leur code de déontologie. Par ce geste qui le raye des cadres des praticiens hospitaliers, le pouvoir entend mettre au pas toute voix contraire au discours officiel et, pour ce faire, il n’hésite pas à bafouer les protections statutaires de certaines professions, les garanties de leur indépendance.
Ecoutez le Dr Umlil, à partir de 3’30. Il ne se bat pas pour lui, mais pour notre santé et, sans l’avoir voulu, pour notre liberté, et il mérite quelques minutes de notre temps
Pendant le Covid, une certaine conception de la santé, tributaire du tout vacinnal, a été mise au-dessus des droits fondamentaux, et demain ce sera peut-être l’écologie, ou toute autre cause jugée supérieure par le Pouvoir, la sécurité par exemple : pour les futurs JO de Paris et leur sécurité se met déjà en place un système élaboré de vidéo surveillance et d'intelligence artificielle et qui pourra s'y opposer sans passer pour un dangereux citoyen ? (https://www.francetvinfo.fr/internet/video-jo-2024-la-cnil-appelle-les-parlementaires-a-ne-pas-introduire-de-la-reconnaissance-faciale-dans-la-loi_5620073.html) Le pli est pris. On aura du mal à revenir en arrière.
3. Extension du domaine vaccinal
A la faveur de cette crise Covid, la cause de la vaccination par ARN messager a progressé. L’industrie pharmaceutique a poussé ses pions.
La Haute autorité de santé va rendre un avis en mars sur l’obligation vaccinale de certaines catégories de personnes. On pourrait penser que l’objet principal de son message est de lever l’obligation vaccinale des soignants du point de vue du vaccin Covid et de se prononcer en faveur de la réintégration des personnes discriminées.
On voit à travers les différents articles parus dans la presse que le propos va être beaucoup plus général et qu’il va s’agir de se demander si on ne pourrait pas au contraire rendre plus de vaccins obligatoires pour certaines catégories de personnes, les soignants y compris, avec des vaccins annuels contre le Covid, la grippe, la coqueluche et d’autres maladies.
Attendons de voir ce qui sortira de cette Haute autorité de santé avant de crier au loup, soyons vigilants, et si jamais c’était une injonction de ce type qui devait en sortir, je serais curieux de voir la réaction des soignants, de tous les soignants je veux dire, à l’idée qu’ils vont devoir se faire vacciner tous les ans avec un produit à ARN messager… Une bonne partie d’entre eux, ceci dit, pourra toujours faire semblant de s’être auto-vaccinée : on jette le contenu au lavabo et le tour est joué. On verra !
En attendant, la pression monte déjà. Les 2-17 ans sont dans le collimateur du vaccin annuel contre la grippe. Population à risques ? Oui, à risque de l’attraper bien sûr. Mais d’en faire des formes graves ? Non, cela se saurait. Alors quoi ? Le site HAS nous informe, le 9 février
Bénéfice individuel indirect ensuite : cette vaccination permettrait d’alléger le poids de la grippe dans les services pédiatriques. Et, enfin, bénéfice collectif : la HAS estime que cette vaccination chez les enfants de 2 à 17 ans – qui constituent le réservoir de la grippe - permettrait de limiter la diffusion de la maladie au sein de la population et des personnes âgées.
Dans cette recommandation, la HAS souligne également la nécessité du remboursement des vaccins contre la grippe saisonnière pour les enfants de 2 à 17 ans afin que tout parent qui le souhaite puisse faire vacciner son enfant contre la grippe sans frein financier.
Toujours les mêmes discours qu’avec le Covid : on va vacciner les enfants, qui ne risquent rien, pour protéger les vieux, qui eux ont choisi en toute connaissance de cause, de se vacciner à environ 60%. Et on doit protéger… le système de santé : c’est pratique, cela évite de le renforcer.
On voit aussi que le but, c’est de pouvoir rembourser le vaccin saisonnier aux enfants : la Sécurité sociale paiera. Le bénéfice direct est pour Big Pharma : au lieu de créer des postes dans les hôpitaux, on paie avec cet argent des vaccins inutiles pour des enfants. Le marché est nouveau, énorme, annuel. Une rente nouvelle.
Et comme par le plus grand des hasards, Pfizer est en train de « mettre au point », si ce verbe veut dire quelque chose tant le vaccin actuel est déficient, un vaccin ARN messager combiné grippe + covid 19. On pourra aisément, une fois le processus en place, suggérer de donner le double vaccin à nos enfants chaque année… pour protéger les vieux et l’hôpital.
Deux pour le prix d’un ! Remboursé… Prêts ? Partez !
4. L’information a reculé, la démocratie avec.
Depuis juin dernier, il n’est plus possible de connaître le statut vaccinal des gens hospitalisés avec Covid. Le Ministère ne publie plus ces données. J’ai écrit à ce sujet. Il a suivi en cela le ministère écossais et a été suivi en janvier 2023 par le Ministère de Nouvelles Galles du Sud. Plus moyen de savoir si les vaccinés vont plus que les autres à l’hôpital car au moment où les statistiques ont été cachées, c’était bien de cela qu’il s’agissait et dans des proportions très inquiétantes.
Supprimer les chiffres, c’est pour le Pouvoir se voiler la face, et c’est maintenir les populations dans l’ombre de la Caverne. Ce n’est pas acceptable.
Laurence Muller Bron, sénatrice Les Républicains, a demandé par trois fois (par amendement au texte sur la Sécurité sociale puis deux fois par question directe à la Ministre) l’accès à d’autres chiffres précis (pour que les chercheurs indépendants puissent travailler), ceux relatifs à la mortalité toutes causes confondues avec précision du statut vaccinal. Laurent Toubiana, épidémiologiste, et Pierre Chaillot, statisticien, les ont demandés et il leur avait été répondu que ces chiffres n’existaient pas… alors qu’on a en France tous les chiffres de mortalité. Sans chiffres, plus aucun moyen de juger d’une politique publique.
Cette absence de données sur d’éventuels liens entre statut vaccinal et décès intervient alors qu’il y a un excès de mortalité clair en 2022.
La télévision britannique s’en fait l’écho en reprenant les statistiques du Ministère, NHS. C’est ici :
Et quand la ministre britannique est interrogée au parlement sur les causes de cette surmortalité, elle botte en touche en disant qu’elle concerne tous les pays européens.
Mais on ne s’interroge nulle part. Et on empêche l’accès aux données. Étonnant, non ?
A la commission européenne, Ursula von der Leyen garde toujours le silence sur les SMS de négociation avec Pfizer. Elle prétend garder le secret sur des négociations… qu’elle n’était pas habilitée à mener, et qui ne se mènent en aucune façon dans le secret de SMS. Pour tenter de lever le voile que la Commission elle-même ne souhaite pas lever, c’est le New York Times qui a décidé d’attaquer en justice la Commission européenne au prétexte que l’institution n’a pas encore rendu public les SMS échangés entre sa présidente et le PDG de Pfizer Bourla. Le journal américain a donc déposé le 25 janvier dernier une requête auprès de la Cour de justice des Communautés européennes (CJUE). Attendons la suite : un journal américain, au cœur du système pourtant, parviendra-t-il à faire un peu de la lumière que réclament les citoyens européens ? Suspense….
5. Pas encore de retour à la normale pour les libertés de circulation.
Deux petits faits récents et personnels, si vous pensez que tout ceci est de l’Histoire ancienne. Début février, je devais partir en mission à Djibouti. Tout était ok, mais le 1er janvier 2023, un décret du Ministère de la Santé avait rendu obligatoire le vaccin covid pour entrer sur le territoire. Fin de la mission.
Mon épouse avait l’intention de se joindre à un voyage organisé par l’université de Montpellier 3 en Macédoine (Skopjie) au mois d’avril. Pas de passe vaccinal pour voyager, mais obligation de montrer patte blanche (vaccin à jour ou certificat de rétablissement) pour tous les restaurants à l’intérieur, info actualisée encore le 16 février.
Et on ne peut toujours pas aller aux USA sans vaccin ni certificat de rétablissement.
La pression est certes retombée, impossible pour le Pouvoir de faire autrement, mais la menace liberticide est toujours là. On le voit à pareils signes. Le Monde d’après est celui des libertés individuelles suspendues au bon vouloir de dirigeants qui gouvernent dans l’opacité organisée et dans un arbitraire croissant.
Tout à fait d'accord avec ce constat affligeant sur la santé mentale des dirigeants de ce monde !
J'invite à lire le livre de Pierre Chaillot intitulé Covid 19 ce que les chiffres révèlent
Vous y trouverez la preuve statistique que les gens ont été manipulés par le pouvoir français, les médias, l'OMS, ...
Peut être un peu d'espoir dans ce tableau noir: de plus en plus de gens ont compris et la prochaine manipulation du même genre sera difficile.
bruno.maurer034orange.frLe 22/02/2023
Tout à fait... Pierre Chaillot fait partie des gens dont je voulais parler quand j'ai commencé ma série sur la science en péril, avec Vincent Pavan également qui a fait un travail remarquable sur les escroqueries des projections mathématiques qui ont cautionné les confinements, les passes sanitaire puis vaccinal. Je ferai des articles sur cela plus tard !