Vaccin et décès, des corrélations alarmantes. Que nous apprennent les chiffres anglais et canadiens ?

Le 14/07/2022 0

Article du 14 juillet 2022

 

Le défilé militaire a du bon : cela n'occupe pas trop l'esprit et fait penser à l'état de la Nation !

J’ai déjà eu l’occasion de vous montrer les courbes françaises du site Vaximpact, censé montrer l’impact de la vaccination sur la dynamique épidémique.

L’extraction du jour, à partir de cette adresse https://covidtracker.fr/vaximpact/ continue à montrer le désavantage à être vacciné. On a deux fois plus de chances de contracter le covid quand on est triple vacciné que quand on est non vacciné, et une fois et demie plus quand on a déjà deux doses. Le vaccin semble donc être un facilitateur pour le virus. Il n’y a rien à dire d’autre, c’est ainsi.
 

 

De ce s 1

Explorez le site français et vous verrez que le désavantage est encore perceptible pour les admissions à l’hôpital, et également pour l’accès aux soins critiques. Pour les décès, aucun effet : tous égaux devant la mort mais dans des proportions très faibles pour 10 millions de personnes. Cela valait-il la peine d’imposer le vaccin par une politique coercitive ne tenant aucun compte du principe de précaution et de dépenser des milliards. Au mieux, le vaccin se révèle absolument sans effet (décès), dans tous les autres cas, il désavantage ceux qui le reçoivent. Merci à Vaximpact qui voulait montrer le bénéfice et qui livre des données contraires  !

Les statistiques britanniques récentes permettent de voir plus précisément si le vaccin « évite les formes graves ». Ce discours est en effet le dernier rempart des pro-vaccination : « Ok il n’empêche pas la contagion, ni la transmission mais avec lui, plus de formes graves ». L’argument est imparable, avec sa variante personnelle : « Ok, j’ai eu le Covid, mais heureusement que j’étais vacciné, cela m’a évité de faire une forme grave ».

Voici les statistiques britannique, brutes, sur Excel. 

https://www.ons.gov.uk/peoplepopulationandcommunity/birthsdeathsandmarriages/deaths/datasets/deathsbyvaccinationstatusengland

Rappel : au Royaume Uni, sur 66 millions de personnes, 50 millions sont entièrement vaccinées le mercredi 6 juillet 2022, soit 75% des personnes.

https://www.sortiraparis.com/actualites/coronavirus/articles/240384-vaccination-dans-le-monde-le-jeudi-14-juillet-2022-pourcentage-de-population-vaccinee-par-pays

En gros ¾ de vaccinés contre ¼ : c’est à peu près comme en France. On devrait retrouver, si le vaccin n’a pas d’effet, ces mêmes proportions dans les chiffres des décès. Et en cas de vaccin bénéfique, les non vaccinés devraient être beaucoup plus représentés que leur part dans la population : ils devraient constituer 30, 40, 50 % des décès... et même la quasi-totalité. Rappelez-vous les Peloux et autres Lacombe en décembre 2021 : « On connait déjà les morts, ce seront les non vaccinés ». Il fallait vacciner de force. En effet, si le vaccin protégeait des formes graves à 95 % (discours Pfizer, repris tel quel partout), les décès chez les vaccinés devraient être portion négligeable : 5% de ces 75% de ces vaccinés... et pas plus !

Qu’en est-il après un an et demie de vaccination au Royaume Uni ?

J’extrais du site ministériel et du tableau Excel global un petit tableau, pour le seul mois d’avril 2022 :

Une image contenant table

Description générée automatiquement

« Deaths involving Covid-19 » : « des morts dans lesquelles le Covid a une part ».

206 non vaccinés, 3365 vaccinés. Le pire étant que les gens ayant reçu le rappel sont très nombreux : 3057+3 : 3060.

Les non-vaccinés représentent 206 décès sur 3571 : à peine 5% (rappel : ils sont 25 % de la population).

Les vaccinés représentent 95% des décès. 

Dans cet ensemble, les triples vaccinés représentent 85% des décès.

Le constat est accablant pour le vaccin.

Pour la période d’avril et mai, les chiffres cumulés confirment la tendance, comme le montre ce graphique composé à partir des mêmes chiffres.

De ce s 2

Au total, selon l'ONS britannique, 4 935 décès dus à la grippe Covid-19 ont été enregistrés au cours de ces deux mois, dont 4 647 pour la population vaccinée. Et, ce qui me parait très choquant, c'est que les personnes triplement vaccinées ont représenté 4 216 de ces décès (toujours 85% des décès), avec seulement 288 décès enregistrés parmi la population non vaccinée (toujours 5,8% des décès – les tendances sont confirmées).

Les mêmes données sous une autre forme graphique :

De ce s 3

De l’autre côté de l’Atlantique, les dernières données du gouvernement canadien vont dans le même sens, avec une population vaccinée à 83%.

Voici de quoi il retourne, extrait des données canadiennes les plus récentes

https://web.archive.org/web/20220622061056/https://health-infobase.canada.ca/covid-19/

De ce s 4

Ces chiffres, les plus récents du gouvernement canadien, montrent qu'il y a eu 521 décès dus au Covid-19 entre le 6 et le 12 juin, et que la population vaccinée en a représenté 485, avec un total de 242 décès parmi la population quadruplement vaccinée, ce qui signifie que cette population a représenté 50 % des décès dus au Covid-19 parmi les vaccinés au cours de la deuxième semaine de juin 2022.

Les 36 non-vaccinés représentent 6,9% des décès totaux : et donc, 92% concernent des vaccinés.

Ce n'est pas le genre de chiffres auxquels on s'attendrait si les injections de Covid-19 étaient réellement efficaces à 95 % pour prévenir les décès.

Ce n’est même pas le genre de chiffre auquel on s’attendrait si le vaccin était juste inefficace.

La conclusion à en tirer c’est que le vaccin… désavantage ceux qui le reçoivent. Quel statisticien peut dire le contraire ? Les cas de la France, du Royaume uni, du Canada, de l’Australie (voir http://informations-covid.e-monsite.com/blog/le-vaccin-protege-t-il-des-formes-graves-petit-coup-d-il-sur-les-statistiques-australiennes.html) sont à présent édifiants.

Pourtant, le discours officiel ne change pas d’un iota :

https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/covid-19-les-vaccins-restent-la-cle-contre-les-formes-graves-martelent-les-autorites-sanitaires-americaines_5252416.html

Le pouvoir américain martèle le mantra du vaccin, et France Info, bien sûr, ne fait pas l’effort d’aller voir le genre de statistiques que j'exploite aujourd'hui, pourtant à portée de clic. Ils lisent pas l'anglais ou ils sont rétifs aux tableaux Excel, nos journalistes ?

Nos politiques n’osent plus contraindre à la vaccination et ils n'ont plus un Parlement croupion. Ils répètent pourtant le même discours, devenu non seulement creux mais mensonger, et personne dans les médias pour dénoncer leurs fake news. Ils attendent les nouveaux vaccins à l’automne peut-être, pour revenir à la charge, en nous disant que cette fois, ce sera les bons, ils seront efficaces ! Et on aura envie de les croire, naturellement. Il faudra alors leur opposer ces chiffres ! Et ne pas se contenter des discours promotionnels de Moderna, de tests réalisés par eux-mêmes en deux mois et sans étude scientifique indépendante, sans recul dans le temps.

En février dernier, le Ministère écossais a tout bonnement décidé de cacher le thermomètre, à défaut de pouvoir le casser. Ils ne veulent plus publier de statistiques qui "sorties de leur contexte" pourraient alimenter des discours contraires à la politique du tout vaccinal. Mais de quel contexte parle-t-on ? Lisez plutôt si vous avez du temps, c'est édifiant :

https://baslesmasques.com/o/Content/co777435/ecosse-certaines-donnees-liees-au-covid-ne-seront-plus-publiees-par-crainte

"Mais, Bruno, un site pareil, c'est complotiste !". Admettons ! Mais alors consultez le rapport du 13 juillet, ici https://publichealthscotland.scot/media/14130/22-07-13-covid-19-publication_report.pdf

On n'y trouve aucune donnée sur le statut vaccinal ni des malades, ni des décès. Effacées. Non disponibles. A la place, à partir de la page 25, un plaidoyer général sur l'utilité des vaccins, avec des citations d'études faites par d'autres, mais pas de rapport statistique !

Plus généralement, se pose une question politique : à quoi servent les chiffres produits par les administrations s’ils ne sont pas exploités ? Ne servent-ils pas à orienter les politiques publiques ? Que penser de nos administrations qui passent donc sous silence ces données ? Et qui continuent à produire des discours et à imposer des politiques en totale contradiction avec le réel ?

Il y a de ce point de vue un parallèle possible avec nos discours et nos politiques (européenne et française) vis-à-vis de la Russie : on nous annonçait martialement (Bruno Lemaire, le mal-prénommé :) ) que notre politique de sanctions allait mettre la Russie à genoux économiquement : or, en quatre mois, le rouble a pris 150% de sa valeur face à l'Euro (!), l'Euro se déprécie face au dollar et au franc suisse, l'inflation galope, les caisses de la Russie sont pleines grâce à la montée des cours du pétrole. Indépendamment de tout jugement sur le fond du conflit, il est patent que cette politique de sanction ne sanctionne en fait que les peuples européens quand les USA tirent les marrons du feu et que le Russie ne pâtit pas. Change-t-on pour autant de discours et de politique ? Non, le mur approche, on nous annonce tous les jours qu'on y va droit, mais on ne freine ni ne change de route. Une forme d'autisme politique ? Je ne vois pas d'autre explication sauf à penser que nos dirigeants européens ont décidé que leurs propres peuples s'apauvriraient d'abord et qu'on verrait à quoi ressemblerait le monde d'après. Que pour le capital, cela fera toujours une redistribution des cartes qui pourrait ne pas lui être défavorable. Mais ce serait du complotisme, je vous l'accorde ! Va donc pour aveuglement bête et autisme politique, mais à ce niveau d'incompétence ce n'est pour moi pas loin d'être de la (haute)trahison, du sabotage ! 

En fait, il est de plus en plus évident pour moi que nous nous habituons depuis le début de la crise Covid à vivre dans un monde de "réalités alternatives" : le réel ne compte pas, fût-il là sous nos yeux, évident. Sous forme de chiffres et/ou de témoignages. On préfère croire à des récits rassurants, fussent-ils des oripeaux qui parviennent de plus en plus mal à cacher une réalité très crue. Un peu comme les enfants qui ne croient plus vraiment au Père Noël mais qui s'y raccrochent tant qu'ils peuvent, tant que les parents n'ont pas avoué leur joli mensonge... C'est que le Père Noël, c'est une si jolie histoire. Et qu'accepter que nos parents puissent être des menteurs détruit tant d'illusions...

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