De quoi le Covid est-il le nom en 2023 ?

Le 08/06/2023 0

Article du 8 juin 2023

Cela fait maintenant des mois que même les personnes les plus atteintes par le discours de la peur ne peuvent plus vraiment croire que le Covid a été la grande menace sanitaire que les pouvoirs et les grandes compagnies pharmaceutiques nous ont vendue.

Le Covid a été l’occasion de mettre en place des mesures jamais vues dans la limitation des libertés publiques, dans le gaspillage de l’argent public, dans le contrôle de l’information.

 

Quelques semaines de veille informationnelle ramènent dans mes filets des articles de presse qui continuent à illustrer les problèmes sociétaux, économiques, politiques que le Covid a soit créé, soit accéléré, soit révélé. Je vous les livre ici sans trop commenter pour ne pas prendre le risque de vous lasser et parce que, après des mois et des mois à analyser en détail, chacun et chacune peut prolonger de son propre regard.

De quoi le Covid est-il encore le nom en juin 2023 ?

1. Covid et désinformation

Mon attention a encore été attirée par un titre, et par une carte, en camaïeu de rouges, sur les taux d’incidence Covid.

https://www.lunion.fr/id488343/article/2023-05-27/carte-interactive-covid-19-quel-est-le-taux-dincidence-dans-mon-departement

Carte 1 covid

On est la semaine du 15 au 21 mai, les chiffres du covid placent la France entière en dessous du seuil épidémique, fixé déjà très bas (50 cas pour 100 000 habitants par semaine). Le fait est même signalé dans le chapeau de l’article. Parfait ! Mais alors, où est la désinformation, Bruno ? Mais dans le choix des couleurs de la carte…

C’est ce rouge que voit le lecteur pressé La France est en rouge, encore et toujours, la crise est toujours là. La peur peut continuer. Désinformation basique.

Il suffit de comparer cette carte de l’Union avec celle de Nord Littoral, pour la même semaine :

https://www.nordlittoral.fr/174729/article/2023-05-23/carte-covid-19-le-taux-d-incidence-rarement-ete-aussi-bas-en-france-depuis-le

 Carte 2 covid

Le vert y règne, normalement. L’épidémie est, depuis longtemps, terminée. Mais continuer à publier les chiffres, ce qui n’a plus d’intérêt, et jouer du rouge font croire le contraire.

2. Covid et détournement d’argent public

Le Covid aura permis de détourner légalement des sommes colossales d’argent public au profit des grandes industries pharmaceutiques. J’ai longuement écrit sur les conditions scandaleuses, encore opaques, de négociation des contrats Pfizer par Ursula Von der Leyen. Je n’y reviens pas. Sachez que le scandale continue, sous d’autres formes. Les États doivent maintenant payer, pour ne pas recevoir les doses de vaccin commandées, que Pfizer ne fabriquera même pas. Heureusement, Pfizer est bon prince. Les États ne paieront que la moitié des prix. Je vous laisse lire, sans même commenter.

https://www.challenges.fr/entreprise/sante-et-pharmacie/covid-19-pfizer-et-biontech-proposent-a-l-ue-de-payer-moitie-prix-les-vaccins-non-utilises_853845.amp

3. Covid et gaspillage : la suite

Vous vous souvenez de mon article d’il y a quelques semaines, quand la Suisse avait détruit des millions de doses à l’automne 2022 ? La France avait fait pareil. Ce n’est pas terminé :

https://www.letemps.ch/sciences/sante/suisse-va-nouveau-detruire-vaccins-contre-coronavirus

L’article est du 14 mai 2023. Extraits, sans commentaire, ce n’est pas la peine d’en rajouter :

Après la chute du nombre de vaccinations contre le Covid-19, la majorité des vaccins contre ce dernier vont finir à la poubelle, a calculé Le Matin Dimanche, qui a fait le point sur l’état de la demande et des stocks. Le journal recense seulement 62 000 vaccinations de janvier à avril de cette année, loin des millions d’injections des années précédentes.

Selon l’Office fédéral de la santé publique (OFSP), depuis le début de l’épidémie, la Suisse a commandé 61 millions de doses. A ce jour, seulement 17 millions de doses ont été injectées. Selon le média, environ 13 millions sont actuellement stockées au niveau fédéral et face à la faible demande, plus de 12 millions de doses vont sans doute être jetées au rebut. Elles s’ajouteront aux 10,5 millions de doses déjà éliminées au niveau fédéral. Et ce chiffre ne comprend pas les stocks éliminés au niveau cantonal, poursuit Le Matin Dimanche.

«Sachant que 13,5 millions de doses sont encore en commande pour 2023 et qu’elles ne seront, elles non plus, pratiquement pas utilisées, un constat brutal s’impose: la majorité des vaccins covid suisses va finir à la poubelle», conclut le média.

En octobre 2022, on se souvient que quelque 9 millions de doses du vaccin de Moderna avaient atteint leur date d’expiration et devaient être éliminées. »

4. Covid et manipulation

On nous a dit que les vaccins étaient sûrs, qu’ils avaient été testés et qu’on pouvait faire confiance dans nos autorités sanitaires. Mais comment les croire quand l’opacité est totale. Elle est telle qu’un juge américain vient d’ordonner que la FDA rende publics les documents qui lui ont permis de statuer, ce qui est la moindre des choses.

https://www.lifesitenews.com/news/judge-orders-fda-to-speed-up-release-of-covid-jab-data-reveal-everything-by-june-2025/

Extraits, traduits :

Un juge fédéral a ordonné à la Food & Drug Administration (FDA) des États-Unis de publier ses données sur la sécurité des vaccins COVID-19 à base d'ARNm de Pfizer et Moderna d'ici à la fin du mois de juin 2025, plutôt qu'au cours des 23 prochaines années.

Depuis plus d'un an, la FDA résiste aux efforts visant à obtenir la publication des données qu'elle a utilisées pour approuver les vaccins controversés plus rapidement qu'aucun autre vaccin dans l'histoire, affirmant qu'il lui faudrait jusqu'à 55, voire 75 ans pour publier les quelque 329 000 pages de documents en sa possession sur le sujet.

Le 9 mai, le juge de district Mark Pittman a ordonné à la FDA de "produire tous les documents relatifs aux deux vaccins avant le 31 juin 2025", estimant qu'elle avait "abusivement rejeté" la demande déposée par le groupe Public Health and Medical Professional for Transparency (PHMPT) en vertu de la loi fédérale sur la liberté de l'information (Freedom of Information Act, FOIA) et ordonnant aux parties de se réunir avant le 23 mai de cette année pour "se concerter et soumettre un taux de production commun qui réduise au maximum" la charge de la préparation des documents à publier.
 

La bonne nouvelle, c’est qu’il y a juste à attendre deux ans pour avoir le détail. Pfizer et les autorités espèrent sans doute que d’ici là, l’attention des citoyens sera accaparée par une guerre en Ukraine ou à Taiwan, un état d’urgence providentiel.

Mais on mesure la résistance à ne pas donner l’information qui aurait normalement due être à disposition de tous avant d’obliger à la vaccination la population américaine, puis celle de tous les pays dits développés. Pourquoi cette rétention d’information ? Est-ce ainsi que l’on gagne la confiance du public dans une politique sanitaire ?

Et relisez ce chiffre avancé par la FDA : elle prétend qu’il lui faudrait 75 ans pour publier les 329 000 pages qu’elle a utilisée pour autoriser le vaccin. Et dans le même temps, elle veut nous faire croire qu’il ne lui a fallu qu’un mois de lecture de cette somme pour autoriser le vaccin ? Réellement, les gens ne voient pas la contradiction fondamentale ? Ou la FDA a-t-elle raison de nous prendre pour des imbéciles ?

5. Covid et démagogie politique

La réintégration des soignants non-vaccinés en France a été l’occasion d’un festival de déclarations honteuses. Je vous livre un titre, vous irez cliquer si vous voulez, c’est de France info. « Réintégration des soignants non-vaccinés : tout le monde s’en moque affirme un infectiologue considérant ce retour marginal ».

https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/reintegration-des-soignants-non-vaccines-tout-le-monde-s-en-moque-a-l-hopital-affirme-un-infectiologue-considerant-ce-retour-marginal_5803019.html

La question du droit, des statuts de la fonction publique bafoués par l’Etat, les souffrances des personnes, notre médiatique infectiologue s’en moque. Magnifique.

Mais la palme revient encore à O. Véran, le porte-parole du gouvernement dont la pensée va bien avec le format minimaliste Tweet :

https://www.leparisien.fr/societe/sante/obligation-vaccinale-des-soignants-abrogee-veran-fustige-la-reintegration-des-gens-qui-doutent-de-la-science-05-05-2023-L2YIR7QOV5FUTI6PANUGU65QLM.php

Pour lui, il s’agit de la « réintégration des gens qui doutent de la science ». Comme si la science pouvait s’écrire au singulier. Comme si les soignants qui se sont interrogé sur le fait qu’un produit qui n’empêche pas d’attraper une maladie, qui n’empêche pas de la transmettre, dont « l’efficacité » relative ne dure pas plus de trois mois puisse encore être appelé un « vaccin » alors qu’il ne répond à aucun des critères habituellement posés, étaient des personnes anti-scientifiques. Mais c’est le contraire qui devrait être le discours normal. La science commence avec le doute et dans le cas qui nous occupe, la place du doute était plus que légitime. Il aura fallu la force de la menace et de la coercition pour faire entrer dans le rang ceux qui doutaient. Mais est-on encore dans de la science ?

6. Covid  et lois d’exception

Le Covid nous aura fait vivre deux ans dans des régimes d’exception. Suspension des procédures démocratiques normales. Pour certains pouvoirs, le retour à la normale semble difficile à admettre. Le 18 juin, les Suisses sont appelés à voter pour le maintien de la loi covid. A. Berset et le Conseil fédéral appellent les Suisses à prolonger le régime d’exception. L’argument avancé ? « On ne sait jamais, la situation peut redevenir mauvaise du jour au lendemain et mieux vaut garder notre arsenal législatif. Et puis, maintenir la loi permet de continuer à pouvoir fournir des passe pour voyager à l’étranger au cas où des pays le redemanderaient… »

On voit la puissance de l’argument : « Continuez à nous donner les pleins pouvoirs, à nous permettre de vous protéger. Le Mal rôde ».

Je vais suivre les résultats de la votation avec beaucoup de curiosité : les Suisses choisiront-ils de revenir à un fonctionnement normal ou vont-ils préférer continuer à aliéner leur liberté au nom d’un « hypothétique danger », un beau pléonasme, le danger étant par nature toujours une hypothèse. Si vous voulez lire les arguments du pouvoir suisse, c’est ici.

https://www.20min.ch/fr/story/le-conseil-federal-lance-la-campagne-sur-la-loi-covid-719432526951

Mais le cas suisse n’est que la partie émergée de l’iceberg.

Au plan mondial, le Covid aura été le galop d’essai de la mise en place des pass pour nous contrôler. L’OMS entend transformer l’essai et mettre en place un passe sanitaire mondial. C’est maintenant que cela se discute. Le danger est là. Lisez plutôt :

https://www.ladepeche.fr/2023/06/06/covid-19-vaccins-bientot-un-pass-sanitaire-mondial-loms-et-lunion-europeenne-annonce-un-partenariat-en-ce-sens-11243865.php

L’UE a signé un accord avec l’OMS le 5 juin. Aucun citoyen européen n’a bien sûr été consulté sur quelque chose d’aussi grave. Inutile, les Commissaires savent ce qu’ils font.

Ce "pass sanitaire mondial" a pour but de renforcer la coopération entre les Etats sur les questions de santé mondiale. Ce partenariat comprendra une collaboration dans le développement, la gestion et la mise en œuvre du système par l'OMS, à l'aide de l'expertise de l'UE dans ce domaine.

Dans le communiqué de la conférence, les deux organisations expliquent qu'il s'agit "du premier élément constitutif du réseau mondial de certification de la santé numérique de l'OMS qui développera une large gamme de produits numériques pour offrir une meilleure santé pour tous."

Cela permettra notamment de faciliter les voyages entre les personnes qui disposent de ce certificat. Dans l'avenir, ce dispositif permettra à l'OMS d'étendre son analyse au-delà du Covid-19. Il sera possible, par exemple, de numériser la certification des vaccins. Selon l'OMS, "l'expansion de ces solutions numériques sera essentielle pour offrir une meilleure santé aux citoyens du monde entier."

La coopération entre les deux organisations est basée sur des valeurs "de transparence et d'ouverture, d'inclusivité, de responsabilité, de protection des données et de confidentialité, de sécurité et d'équité." Les deux organisations n'auront donc pas accès aux informations personnelles concernant les utilisateurs de ce certificat numérique.

Nous voilà rassurés : « transparence, ouverture, inclusivité, responsabilité, confidentialité, sécurité, équité ». Tous les mots clés du management politique moderne ont pu être placés et le but c’est de « faciliter les voyages ». De tout le monde ? Non, relisez : « Entre les personnes qui disposent de ce certificat ». Je ne sais pas trop si c’est ainsi qu’on va vraiment vers l’inclusivité, j’ai même un assez gros doute, en fait. J’y vois plutôt un instrument d’exclusion, de soumission.

Heureusement, l’OMS est une émanation des Nations Unies donc on peut lui faire confiance, ce n’est pas comme si elle était au service d’intérêts privés. Mais qui finance l’OMS ? Qui paie l’orchestre et donc commande la musique ?

https://www.swissinfo.ch/fre/politique/bill-gates-a-t-il-trop-d-influence-sur-l-oms--/46596794

Dans cet intéressant article de Swiss info, qui date d’avant la crise Covid, on peut voir qui sont les donateurs.

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En tête, les USA. Bon… J’avoue ne pas être toujours hyper à l’aise avec l’idée que ce pays est le gardien de la démocratie et de la paix dans le Monde, les USA, pays de Pfizer et de la FDA prompte à autoriser en un mois un vaccin… mais OK, on peut ne pas être d’accord avec cette vision personnelle, un peu critique…

Ensuite, vient Bill Gates et sa fondation. Bill Gates : il est pas informaticien, lui ? De quoi il se mêle ? Troisième position : GAVI… GAVI ? une fondation dirigée par José Manuel Barroso pour la diffusion… de la vaccination ! (https://fr.wikipedia.org/wiki/GAVI_Alliance). Qui en est le principal actionnaire ? Bill Gates et sa fondation. Encore et toujours.

Bill Gates pèse donc à lui seul environ 17% du budget de l’OMS. Ce serait une société privée, on dirait qu’il en est de très loin le principal actionnaire et donc qu’il commande. Bill Gates a-t-il la moindre expertise en santé publique ? Non, mais il a l’argent pour diriger la santé publique mondiale. Viennent ensuite les USA et le Royaume Uni. A eux 3, ils sont 38% du budget de l’OMS, la Commission européenne 3%.

Le plus « drôle », c’est que le site de l’OMS qui parle du financement évoque les financements privés mais avec tant de pudeur que la Fondation Gates n’est pas nommée.

https://www.who.int/fr/about/funding

Et quand on fait le total de ces gros donateurs, on arrive à peine à 60%. Qui donne les 40 autres ? La charité préfère la discrétion. C’est bien connu ! En 2022, l'OMS est tellement consciente que le fait qu'elle est aux mains du privé risque de finir par se voir qu'elle adopte une réforme. https://www.lemonde.fr/planete/article/2022/05/24/l-oms-adopte-une-reforme-historique-de-son-financement_6127550_3244.html. L'article du Monde indique une part de seulement 16% de contributions étatiques obligatoires dans son  financement. Le reste... L'objectif affichée est d'arriver à 50% d'ici... 2028. On verra bien ! En attendant, l'OMS est une officine aux mains d'intérêts privés qui s'apprête à soumettre les peuples à des dispositifs coercitifs concernant nos vies privées, la libre disposition de nos corps. Une OMS qui n'hésite pas à jouer de la stratégie de la peur pour alimenter son pouvoir :. “Le monde doit être prêt pour la prochaine pandémie”, alerte le chef de l’OMS, "plus mortelle" ; c'est ici

https://www.trtfrancais.com/actualites/le-monde-doit-etre-pret-pour-la-prochaine-pandemie-alerte-le-chef-de-loms-13344064

7. Covid et effets secondaires graves?

Loin de moi l’idée de faire de ce vaccin covid si sûr (qui a eu en un mois tout le recul nécessaire pour être approuvé et administré urgemment à toutes les catégories de la population, nourrissons et femmes enceintes normalement écartées de tout traitement), le responsable de tous les mots, mais hier l’INSEE a publié les chiffres de la mortalité 2022 en France. Bizarre… Toute la presse française s’est faite hier l’écho de cette publication. Je prendrai juste un seul article dans la presse mainstream.

https://www.lesechos.fr/politique-societe/societe/en-2022-la-surmortalite-en-france-a-ete-plus-elevee-que-pendant-la-pandemie-1949597

53000 morts de plus que prévu. Plus de morts qu’en 2020 et qu’en 2021. Alors que le vaccin était là, et qu’Omicron avait remplacé les souches originelles. C’est un sacré décrochage, comme on n’en voit jamais sur des courbes de mortalité qui, sauf accident grave (guerre, etc.), ne bougent que très peu.

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On avance dans l’article le retour de la grippe, bizarrement « disparue » pendant les années Covid (Pierre Chaillot, statisticien, explique qu’on a juste comptabilisé Covid toutes les pneumopathies, un transfert statistique qui a alimenté les discours de la peur), mais même l’INSEE n’y croit pas. La grippe était là en 2019. Alors on avance la canicule de 2022… Mais elle n’avait rien à voir avec celle de 2005. Et l’article de s’interroger sur les excédents de mortalité des… moins de 34 ans, pas touchés par la grippe ni par la canicule. Inexplicable.

L'inconnue reste l'augmentation des décès chez les moins de 34 ans, a priori moins inquiétés par les épidémies de grippe et les canicules. La hausse des accidents de la route en 2022 dans cette tranche d'âge (+12 %, soit 109 personnes) peut être une explication. Mais « c'est de l'ordre d'une centaine sur 600 décès excédentaires, donc cela ne peut expliquer qu'en partie », juge Sylvie Le Minez. Une étude plus poussée, menée par le Centre d'épidémiologie sur les causes médicales de décès (CépiDc), devra identifier les raisons de cette surmortalité.

Ni grippe, ni canicule, ni accident de la route. Mais alors ? Objectivement, le seul truc qui a changé dans cette population, c’est la vaccination. Indéniable. Toutes choses étant égales par ailleurs, le début de la démarche scientifique serait de regarder de ce côté. On a eu quelques articles dans la presse qui parlaient de jeunes sportifs décédés brutalement de crise cardiaque, mais ceci était peut-être un effet de loupe, de grossissement. Il ne faut jamais s’arrêter à des cas isolés et il ne faut commencer à s’alarmer que quand il y a des chiffres qui font sens. Mais c’est le cas, cette fois. Or, bizarrement, ni l’INSEE, ni les Echos, ni aucun des nournaux mainstream n’évoque même cette hypothèse. Infaisable. Indicible. Insoupçonnable vaccin, en dépit des gens qui ont signalé des effets indésirables graves dans des proportions jamais vues auparavant. Un silence assourdissant. Cachez ces vaccins que je ne saurais voir.

Laurent Toubiana et Pierre Chaillot demandent au Ministère français de la santé, depuis des mois, l’accès aux données de mortalité toutes causes confondues par statut vaccinal. En vain. Ces chiffres n’existeraient pas, ce qui est faux.

On parle quand même de 50 000 morts en trop, et ces données se retrouvent dans absolument tous les pays développés,

https://www.lenouveleconomiste.fr/le-mystere-des-250000-morts-britanniques-de-trop-99069/

https://www.liberation.fr/checknews/le-mystere-de-la-surmortalite-estivale-islandaise-20221119_B6WKPQQR2VHANHB5AQFUGOLHSM/

Extrait du site https://www.euromomo.eu/graphs-and-maps sur la mortalité européenne

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C’est quoi, ce surcroit de mortalité constant en 2021 et 2022 alors que le vaccin est là et Omicron également ? C’est quoi ce pic au dernier trimestre 2022 ? Presque aussi fort qu’au printemps 2020…

Afin de faire la lumière, il serait vraiment souhaitable de disposer du type d’information demandé par Toubiana et Chaillot. Cela permettrait de dédouaner définitivement les vaccins, faute de quoi le doute sera toujours possible et alimentera les discours que l’on appelle complotistes.

Il faut croire que le complotisme se nourrit de la désinformation et du déficit de démocratie : toutes choses qui ne sont pas sans rapport avec le Covid, on dirait !

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